Cest en particulier sur la pertinence de cette dĂ©monstration â en contradiction patente avec lâinscription que Jacques Lacan, qui frĂ©quentait beaucoup les surrĂ©alistes autour de 1930, fera
SaufquâĂ en rester lĂ il nâest pas sĂ»r que Joyce aurait Ă©tĂ© Joyce, parce que tout Ă©crit reste de lâAutre, quelles que soient ses torsions. Câest son ego, comme le note trĂšs bien Lacan, qui a servi Ă rendre vivant et Ă stabiliser ce montage. Cela conduit Ă en faire le quatriĂšme rond dâun nouage proprement borromĂ©en.
Lesecret de cet existentialisme, câest quâil est une version du vitalisme. Câest clair que chez Sartre cette prĂ©sence palpite, câest une chair qui sue, qui palpite, qui crache, qui pisse, qui chie â inspire tout une littĂ©rature naturaliste. Rien Ă voir avec lâexistentialisme de Lacan, qui lui est un logicisme.
Re: Expliquer Jacques Lacan. D'abord, laissez moi vous exprimer ma joie de pouvoir discuter sainement de cela avec vous. pour moi Lacan et Freud étaient surtout "chercheur" en psychanalyse, plus que praticiens. en ce sens, ils étaient à la recherche de modÚle cohérents et explicatifs.
TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI đđ»đđ»đđ» Devenir fou dans sa classe d'artAvec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accĂ©der Ă des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basĂ©s sur l'intĂ©rĂȘt lĂ©gitime
Estce quâil a, ou non, le sentiment quâil y a quelque chose qui se rĂ©pĂšte dans sa vie, toujours la mĂȘme, et que câest ça qui est le plus lui. (2) » Ă lâheure oĂč lâaffirmation de soi a le vent en poupe par la multiplication de pratiques visant le bien-ĂȘtre, ce parallĂšle vivifiant que fait Lacan entre la rĂ©pĂ©tition et ce « plus lui » est plus que jamais prĂ©cieux.
t0HvK. Culture Il Ă©tait le plus provocateur des psychanalystes. Trente ans aprĂšs la mort de Jacques Lacan, le Seuil publie deux inĂ©dits, que "Le Point" prĂ©sente en exclusivitĂ©. Jacques Lacan, "Le sĂ©minaire livre XIX... ou pire" Ă©ditions Seuil, et "Je parle aux murs" entretiens de la chapelle de Sainte-Anne, textes Ă©tablis par Jacques-Alain Miller Ă©ditions Seuil. © Jerry Bauer Tout fou Lacan, titrait LibĂ©ration au lendemain de sa disparition. Fou, il l'Ă©tait peut-ĂȘtre devenu sur la fin, selon divers tĂ©moins. Mais, trente ans aprĂšs, la question n'est pas lĂ . PlutĂŽt pourquoi ceux qui le suivirent aprĂšs Mai 68 ont-ils acceptĂ© d'ĂȘtre par lui rendus fous ? Et surtout le plus connu des psys français est-il en passe de revenir hanter la psychanalyse comme un fantĂŽme ?Que reste-t-il de nos amours lacaniennes ? Car, il faut le reconnaĂźtre, dans l'incroyable attachement de milliers de disciples Ă la parole oraculaire du maĂźtre, il y avait avant tout de l'amour. Un amour presque passionnel, sacrificiel "Perinde ac cadaver." Certains en sont morts. D'autres s'en nourrissent encore. Comment sĂ©parer l'amour de la vĂ©ritĂ© de la vĂ©ritĂ© de l'amour ? Il est impossible de dĂ©nouer le lien fatal qui fait qu'on croit aimer quelqu'un parce qu'il parle bien et dit le vrai, alors qu'on croit qu'il maĂźtrise la langue et dĂ©tient la vĂ©ritĂ© parce qu'on l'aime. Nous sommes tous soumis Ă ce que Pascal appelle "la confusion des ordres".Cependant, trente ans aprĂšs sa mort, il est temps de tracer un bilan de l'apport de Lacan Ă la psychanalyse et Ă la culture, sinon impartial, du moins Ă©quilibrĂ©, entre la gratitude envers telle dĂ©couverte et le rejet de telle autre, sans cĂ©der Ă l'hagiographie commĂ©morative ni Ă l'aigreur fĂ©condsNous sommes dans l'aprĂšs-Lacan. Non au sens oĂč il aurait marquĂ© un "avant" rĂ©volu et ouvert une Ăšre nouvelle, encore moins d'un sauveur ou d'un prophĂšte pas de datation entre "avant JL" et "aprĂšs JL", mais au sens oĂč sa recherche continue de susciter des dĂ©bats fĂ©conds mĂȘme chez ceux qui s'en sont nous lĂšgue-t-il ? Quelques aphorismes fulgurants "le dĂ©sir, c'est le dĂ©sir de l'autre", "l'amour, c'est donner ce qu'on n'a pas Ă quelqu'un qui n'en veut pas". Des calembours d'Almanach Vermot, "poubellication", mais aussi de brillants mots-valises "hainamoration". D'incroyables proclamations de gĂ©nie "Moi, la vĂ©ritĂ©, je parle". Des grossiĂšretĂ©s de salle de garde, rachetĂ©es par des distinctions opĂ©rantes entre besoin, demande et dĂ©sir, par exemple, ou frustration, privation et castration. Quelques fulgurantes lumiĂšres mĂȘlĂ©es Ă tant de prĂ©ciositĂ©s obscures. Comme le disait l'un des maĂźtres de Lacan "Quand l'eau est trouble, on ne voit pas s'il y a du poisson ou non."VĂ©ritĂ© rĂ©vĂ©lĂ©eLa seule question est dĂ©sormais que faire de tout cela, et en a-t-on vraiment besoin pour soigner un patient ? Les deux textes aujourd'hui publiĂ©s et dont Le Point prĂ©sente, en exclusivitĂ©, des extraits essentiels, datent de la pĂ©riode 1971-1972 et tournent autour de cette proposition en forme de vĂ©ritĂ© rĂ©vĂ©lĂ©e "Il n'y a pas de rapport sexuel." Cela signifie-t-il que le rapport entre les sexes n'est pas de l'ordre de l'harmonie préétablie, de la complĂ©tude heureuse, mais du conflit et du ratage ? Que la sexualitĂ© ne rapporte rien et qu'on ne peut rien en rapporter, ni en dire ou en Ă©crire, parce que, justement, "ça ne parle que de ça" ? Ce sont des Ă©vidences connues depuis Freud. Mais cela ne masque-t-il pas en rĂ©alitĂ© une conception pathologique de la sexualitĂ© il n'existerait pour les sexes aucun moyen de se rapporter l'un Ă l'autre ? Si cet Ă©noncĂ© Ă©tait vrai, combien d'entre nous seraient rassurĂ©s de ne pouvoir pas se rapporter Ă l'autre sexe ! Que conclure de cette lecture ? Je prĂ©fĂšre la phrase dĂ©licieuse d'un personnage de Proust, Mme Leroi "L'amour ? Je le fais souvent mais je n'en parle jamais."Ce "SĂ©minaire" nous donne le mĂ©lange instable et fascinant d'un Lacan provocateur Ă une rĂ©flexion toujours vivante sur la psychanalyse et de sa fuite dans la "mathĂ©matisation" de l'inconscient sexuel qui en est pourtant le noyau central. Michel Schneider, auteur de Lacan, pĂ©riode fauve PUF, 2010.Jacques Lacan, Le sĂ©minaire livre XIX... ou pire Seuil, 264 p., 23 euros, et Je parle aux murs entretiens de la chapelle de Sainte-Anne, textes Ă©tablis par Jacques-Alain Miller, Seuil, 128 p., 12 euros. Parution le 25 aoĂ»t. Saison lacanienne En librairie - 1er septembre Vie de Lacan, de Jacques-Alain Miller Navarin, 24 p., 5 euros, et sur . 1er septembre Lacan, envers et contre tout, d'Elisabeth Roudinesco Seuil, 15 euros. - 13 octobre Lacan au miroir des sorciĂšres, numĂ©ro spĂ©cial de la revue La Cause freudienne Diffusion Volumen, 20 euros. Ă la tĂ©lĂ©vision - 5 septembre, 22 h "Rendez-vous chez Lacan", de GĂ©rard Miller, France 3. ĂvĂ©nements - 9 septembre Lecture non stop de Lacan Ă l'Ăcole normale. EntrĂ©e octobre journĂ©es Lacan au Palais des congrĂšs, Ă Paris. Une vie1901. NaĂźt Ă Paris. 1932. Soutient sa thĂšse de psychiatrie. 1964. Fonde l'Ecole freudienne de Paris. 1966. " Ecrits " Seuil. 1980. Dissout l'Ecole freudienne. 1981. Meurt Ă Paris. Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimitĂ© Vous lisez actuellement Que reste-t-il de Jacques Lacan ? 4 Commentaires
Entretien avec Guy Briole aprĂšs lâĂ©mission "N'est pas fou qui veut" sur France Inter OriginalitĂ© de la psychanalyse dans la psychiatrie militaire en France, la violence, le traumatisme, les otages ». Guy Briole, Psychanalyste membre de la ECF, psychiatre et ancien Directeur Ă l'hĂŽpital du Val-de-GrĂące Ă Paris, est intervenu dans l'Ă©mission "n'est pas fou qui veut" sur France Inter le 3 juillet 2016 invitĂ© par OphĂ©lie Vivier. InterrogĂ© Ă partir de son expĂ©rience dans la psychiatrie militaire, Guy Briole a Ă©tĂ© invitĂ© Ă parler de la place de la psychanalyse face Ă la clinique de la violence et du traumatisme.
Vues 4 561 Le fond est dĂ©jĂ connue des rĂ©sistants mais il est bon dâenfoncer les clous pour essayer de rĂ©veiller la masse inconsciente des abus des gouvernants dans tous les domaines. Christine Deviers-Joncour Je les ai vus, Ă lâĂ©poque, se goberger, sâempiffrer sur le dos du peuple » ! Christine Deviers-Joncour, alors ancienne maĂźtresse de Roland Dumas, est condamnĂ©e Ă trois ans de prison, dont 18 mois avec sursis, et 1,5 million de francs dâamende pour recel dâabus de biens sociaux ». Dumas, lui, est relaxĂ©. En 1997, Christine Deviers-Joncour est incarcĂ©rĂ©e provisoirement pendant cinq mois et demi Ă la prison de Fleury-MĂ©rogis. Entre 1998 et 2005, elle intervient dans lâaffaire des frĂ©gates de TaĂŻwan. Le dossier de la vente des frĂ©gates de Taiwan par Thomson qui lâimpliquait nâa jamais Ă©tĂ© ouvert par la magistrate Eva Joly. Le secret dĂ©fense fut opposĂ© par deux ministres de la DĂ©fense. Le juge Van Ruymbecke lâouvrit en 2002. En 2002, Jean-Pierre Thiollet Ă©crit dans son livre Les Dessous dâune prĂ©sidence Que cela plaise ou non, Christine Deviers-Joncour est lâune des femmes clefs de notre Ă©poque quâelle incarne ! » Ăcrivain et bĂ©nĂ©vole dans les annĂ©es 2010En 2006, elle Ă©pouse Alf Emil Eik, musicien, compositeur et producteur Ă©crit en sâinspirant de la mythologie nordique, corrige et relit les manuscrits dâautres auteurs. Elle participe Ă des actions caritatives, notamment auprĂšs de lâassociation Novopole, au profit des Ukrainiens russophones du Donbass en zone de politiques changent mais la politique de bas Ă©tage reste la coutume !Christine Deviers-Joncour approche des 75 ansâŠElle vit modestement dans un village du PĂ©rigord noir oĂč elle Ă©crit des livres et sâadonne Ă des actions caritatives, ayant tirĂ© un trait sur son passĂ© que nĂ©anmoins elle ne renie pas. Beaucoup se souviennent de Christine Deviers-Joncour, qui fut la maĂźtresse de Roland Dumas, de longues annĂ©es ministre des affaires Ă©trangĂšres de François Mitterrand. En son temps, elle sortit un livre de rĂ©vĂ©lations intitulĂ© La putain de la RĂ©publique » . Son nom a beaucoup circulĂ© dans des histoires de corruption impliquant les plus hauts personnages de lâĂtat. Autant dire quâelle a vu de ses yeux lâenvers du dĂ©cor, la face obscure du monde politique, et que quand elle en parle, elle sait de quoi elle ce quâelle dit Jâentendais leurs dĂ©lires, loin dâimaginer quâils iraient jusquâau bout de leur folie. Je les ai vus, Ă lâĂ©poque, se goberger, sâempiffrer sur le dos du peuple. Je les ai vus, les yeux plus gros que le ventre, piller et se goinfrer. Se donner des lettres de noblesse factices que leur position et leur pouvoir leur confĂ©rait. Je les ai vus bomber le torse et de leur petite hauteur, mĂ©priser le peuple en donnant au chĂąteau de Versailles des fĂȘtes royales pour cĂ©lĂ©brer dignement lâarrivĂ©e au pouvoir du nouveau monarque ». Les cortĂšges de voitures officielles comme autant de carrosses et les garden-parties de ces nouveaux parvenus. Jâai vu les Ă©pouses et leur marmaille jouant Ă Marie-Antoinette sans vergogne sous les lambris, dont le passe-temps se limitait Ă organiser des dĂźners fins entre amis et visiter le Mobilier national comme on va chez Ikea. Gratuit ici. Surtout quand on omettait de restituer piĂšces dâart et meubles dâĂ©poque. Je les ai vus et jâai payĂ© trĂšs cher pour avoir Ă©tĂ© tĂ©moin, nâĂ©tant pas du sĂ©rail⊠Jâai vu les caisses noires des ministĂšres exonĂ©rĂ©es dâimpĂŽts, les frais dâintendance Ă©hontĂ©s enfler, chauffeurs et gardes du corps Ă vie et retraites cumulĂ©es replĂštes, retro-commissions sur des marchĂ©s dâĂ©tat, des avions Ă©quipĂ©s comme des palaces volants, des jets sur le tarmac prĂȘts Ă dĂ©coller au moindre caprice ou quand tsunamis, tremblements de terre et autres catastrophes permettaient dâappeler les hordes de photographes, aprĂšs ĂȘtre passĂ© en vitesse chez le coiffeur et le couturier branchĂ©, pour se faire immortaliser au pied dâun jet avec un sac de riz sur le dos. Jâai vu des soutes en provenance dâAfrique garnies de billets de banque et des coffres de voitures transformĂ©s en caverne dâAli Baba pour distribution dâargent Ă grande Ă©chelle, des contrats dâĂtat passĂ©s aux mains des filous, des comptes bien cachĂ©s dans des pays aux lagons bleus, âŠ. Jâai vu un avion avec une croix rouge sur son flanc porter secours Ă des populations africaines affamĂ©es en leur tirant dessus, et jâai mĂȘme vu certains crocodiles bouffer de malheureux tĂ©moins encombrants et dâautres tomber des fenĂȘtres, arrĂȘts cardiaques et cancers monde aux mains de la Finance Internationale, Bilderberg, Nouvel Ordre Mondial criminel, FMI, GAFAM etc, pour maintenir, verrouiller le systĂšme, protĂ©ger une Ă©lite et asservir les peuples en les abrutissant et en les dĂ©pravant en inversant les valeurs ! Nous leur donnons une once de pouvoir et ils perdent tout sens commun. Et plus on monte dans la hiĂ©rarchie, plus ils sâen donnent Ă cĆur joie, perdent le sens des rĂ©alitĂ©s et franchissent allĂšgrement et sans Ă©tats dâĂąme lâinacceptable. Et au plus haut niveau de la pyramide ils nâont plus rien dâhumain. Ce sont des monstres.⊠Le pouvoir, aphrodisiaque suprĂȘme, les dĂ©shumanise ? Et le fric, moteur essentiel Ă toutes ces dĂ©rives⊠Comment osent-ils se poser en donneurs de leçons, parler de probitĂ©, dâintĂ©gritĂ©, de franchise, quand se multiplient leurs Ă©garements et que les affaires de corruption et autres mĂ©faits les Ă©claboussent ? ⊠Nous sommes devenus un immense peuple de moutons Ă tondre, tandis que la dĂ©mocratie nâexiste plus depuis longtemps, et tout dĂ©pend maintenant du pouvoir de rĂ©sistance et de rĂ©volte des peuples. La mise en esclavage des populations est passĂ©e Ă la vitesse supĂ©rieure avec cette pandĂ©mie covid » en crĂ©ant la PEUR. Et les grands argentiers de la planĂšte et leurs marionnettes nous font clairement comprendre que seuls comptent leurs profits, que le bien-ĂȘtre des citoyens nâa aucune espĂšce dâ sommes tous sacrifiĂ©s sur lâautel des profits. Depuis ces derniĂšres dĂ©cennies tout fut mis en Ćuvre pour leurs profits. Et la tĂ©lĂ©vision et les mĂ©dias aux ordres ont participĂ© Ă cet abrutissement de masse qui nous a conduits Ă lâimpuissance en nous lavant le cerveau. Je veux pourtant rester optimiste. Nous sommes Ă un changement de civilisation. Il est urgent que tous les citoyens se rĂ©veillent et reprennent en main leurs pays, leur souverainetĂ© et Ă©liminent cette vermine financiĂšre afin de rĂ©injecter dans les caisses des Ă©tats pour le bien collectif, les incroyables fortunes dĂ©tournĂ©es par une poignĂ©e de mafiosi sans foi ni loi et dangereux. Il faut bien prendre conscience que, quels que soient votre bord politique ou votre conception de la vie, si vous ne faites pas partie de leur Ă©lite, vous serez broyĂ©s. »Christine Deviers-Joncour Quand la vĂ©ritĂ© nâest pas libre, la libertĂ© nâest pas vraie ». Jacques PrĂ©vert Le politicien devient un homme dâĂtat quand il commence Ă penser Ă la prochaine gĂ©nĂ©ration plutĂŽt quâaux prochaines Ă©lections ». Winston Churchill PubliĂ© par Paul Source Changera3
le 13 juin 2013 Indisponible en librairie car Ă©puisĂ©, Ne devient pas fou qui veut. Clinique psychanalytique des psychoses, dâHervĂ© Castanet, est dĂ©sormais disponible au format pdf, Ă lire sur vos Ă©crans dâordinateur et tablette. Le format numĂ©rique est disponible au prix de 8⏠sur demande par e-mail cliquer ici. Jacques Lacan, en 1955-1956, dĂ©finit la psychose comme une modalitĂ© de dire non Ă la castration â câest la Verwerfung forclusion du signifiant du Nom-du-PĂšre dans lâAutre du langage. Sâen dĂ©duit une clinique discontinuiste les concepts structuraux â prĂ©sence ou absence du Nom-du-PĂšre â permettent dâĂ©laborer des classes et de rĂ©pondre dans le registre du certain. La fin de son enseignement annĂ©es 1970-1980 ouvre une autre perspective Si lâAutre existe, on peut trancher par oui ou non quand lâAutre nâexiste pas, on nâest pas simplement dans le oui-ou-non, mais dans le plus-ou-moins » Miller, 1998. Cette clinique nouvelle de lâĂ -peu-prĂšs, de lâapproximation, est continuiste. Elle nâexclut ni la rigueur ni la postulation du mathĂšme. La psychose y devient un concept Ă©tendu, nullement Ă©puisĂ© par les seules formes des psychoses psychiatrisĂ©es. Il y a des psychotiques sans phĂ©nomĂšnes Ă©lĂ©mentaires, sans troubles du langage, sans dĂ©lire, sans errance, etc. Ils relĂšvent de la psychose ordinaire. Quelle clinique pour ces patients ? Quelle place pour le psychanalyste ? Ce court essai rassemble deux sĂ©ries de cas. Dans la premiĂšre, des psychotiques sâadressent Ă un analyste â au cabinet pour certains, dans le cadre hospitalier dâune prĂ©sentation de malades pour dâautres. Quels bricolages » vont-ils trouver â ou ne pas trouver â grĂące au dispositif analytique ? Dans la seconde, trois cas de psychoses extraordinaires Rousseau, D. P. Schreber, A. Artaud trouvent leur issue dans un passage Ă lâĂ©criture. Chaque cas dĂ©montrera quâeffectivement, ne devient pas fou qui veut » J. Lacan, 1946 ! 4e de couverture Ne devient pas fou qui veut. Clinique psychanalytique des psychoses, HervĂ© Castanet. Editions Lussaud, coll. LâimpensĂ© contemporain, 126 p., 2013 2e Ă©dition revue et corrigĂ©e. Consulter nos RepĂšres bibliographiques sur la psychose. Lire la prĂ©sentation de cas extraits du livre sur le Blog SC Luc. Le brouillard », Alphonse. Une vie de calculs . CatĂ©gories Parutions
Comme nous nâen avons pas, en l'achetant on se rembourse, on Ă©conomise, on met de cotĂ©, on en met Ă gauche dĂ©s lâor noir oĂč ça vaut moins que nâavons pas de pĂ©trole mais, câest connu, nous avons des idĂ©es, et ça ne nous coĂ»te rien de moins que du vent, car nous avons des idĂ©es Ă revendre et qui ne coĂ»tent guĂšre plus. Autant dire quâon ne perd pas au change, et quâĂ penser nous dĂ©pensons de moins en coĂ»t est tellement bas que certes il ne nous atteint pas mais quâil va falloir une pompe Ă haut. Et un remontant pour la route car il se peut que le bas blesse Ă nouveau et câest reparti pour un tour façon Shadocks Ă brasser du pets trop liĂ©s ça sent mauvais, qui ne dit maux cons sent. Mot quâon sent te ment dit mee too, on ne nait pas flamme, on lâallumette, ou on lâĂ©teint celle, comme une pĂ©troleuse. Maux con sang, corrida, et ce nâest pas que beau, mais ça flaire aussi la bonne affaire, et mĂȘme Ă tout faire, atout Ferrer aussi qui dit ni oui Nino car quâest ce quâon peut faire quand on ne sait rien faire, on devient un homme Ă tout faire » et faire la paire câest mieux que rien, câest mieux que faire la malle, ou la valise Liliane, car le fossĂ© se creuse comme un puits de comme dirait Trump qui nâen a pas, câest dâen acheter pour le stocker. Pour le stocker dans des puits sans fond si possible pour en stocker au maximum malin. Et sans fonds de dĂ©part ça tombe bien au fond puisque, prĂ©cisĂ©ment, ça ne coĂ»te rien, pardon, ça coĂ»te moins que me direz que, moins que rien ce nâest pas rien, et que, si nous lâavons pour rien, il nous reste Ă payer moins, câest Ă dire Ă encaisser la diffĂ©rence pour rĂ©gler le moins que rien, et ĂȘtre quitte. Ou double si on y revient et si lâon nâest pas trop pompĂ© car Ă la pompe Ă©videmment ça baisse et on vous rembourse cette diffĂ©rence du tout au rien. Ou plus exactement du plein au moins que rien, et ça coĂ»te autant que ça goĂ»te et si lâon sâĂ©coute, si lâon est mis sur Ă©coute ou au goutte Ă goutte, ça risque de passer par dessus bord. Et câest pas le mot câest lĂ que le bas baisse, le bas de laine oĂč sont nos Ă©conomies qui y passent pour acheter du vent, et qui, sâil coĂ»te moins que rien, ne sert, non pas Ă rien, mais Ă pas grand chose, puisquâon ne roule plus par les temps qui courent, tout en se faisant rouler, comme qui dirait, en un revers spĂ©culation risque donc de nous coĂ»ter cher, et il ne sera pas forcĂ©ment facile de nous dĂ©barrasser de nos idĂ©es Ă revendre. Surtout si nous en avons beaucoup pour compenser lâabsence de pĂ©trole qui coĂ»te moins que rien, et qui donc nous rapporte, quand nos idĂ©es, elles, se dĂ©valorisent dâautant quâelles ne compensent plus une absence qui se dĂ©lite au fur et Ă mesure de notre en emporte le vent dâailleurs, car nos idĂ©es, encore faut-il quâelles soient bonnes, quâelles soient super comme Ă la pompe et non diesel Ă particules fines par exemple, dĂ©valorisĂ©es mâen vient justement une dâidĂ©e, mais câest malencontreux, car câest probablement une idĂ©e de trop que je ne sais oĂč stocker, nâayant plus de place. Pensez avec tout ce pĂ©trole ce nâest pas tous les jours drĂŽle. Notez câest une idĂ©e gratuite et je suis tout disposĂ© Ă vous en faire cadeau Ă condition que vous ne me la piquiez pas et que vous disiez bien que câest la mienne au dĂ©part, mĂȘme si câest une idĂ©e fausse, voire une fausse bonne idĂ©e ou mĂȘme une fausse sceptique qui nous dĂ©fausse. Câest une idĂ©e qui me coĂ»te et vous la dire me vaut certes quelques propos de boire, vous prendrez bien quelque chose, nâest ce pas, vous mâavez lâair pompĂ© ? Ce nâest pas moi qui vous pompe lâair au moins, je veux dire au moins que rien, sinon je vous rembourse. Vous pensez peut ĂȘtre que je vous roule ou bien que je suis plein quand je vous sers un verre, de trop plein mais, de grĂące, nâen jetez plus, la cour est que je ne me plains guĂšre et, au bout du compte, vous me dites si je vous dois quelque chose. Maintenant sâil sâagit de prendre lâair de rien, voire de mĂȘme prendre lâair pour rien. Câest du vent, câest pire que tout, câest du vampire suceur de sang avide dâor noir qui coule Ă flots, taisons-le si ça rapporte mais câest bidon, comme ma ville du mĂȘme nom et "suppose quâon ait de lâargent et quâon soit intelligents" et quâon ait que trop Suez, en payant la diffĂ©rence, on nâaurait plus besoin de pĂ©trole et on sâachĂšterait des idĂ©es pour ne pas tomber en Panama, santĂ© buvons, Ă ma santĂ©, comme Ă la vĂŽtre. Buvons pour que l'on ne s'y retrouve pas Ă la SantĂ©, et pour que nous la retrouvions la santĂ© Ă laquelle nous tenons ni plus ni moins que plus que toux. Mais moins que rien ce nâest dĂ©jĂ pas si mal, car ça pourrait ĂȘtre pire, et il sâen est fallu de peu que ce soit quelque chose voire encore moins. Câest tout ce que lâon peut en dire, et Ă moi compte deux mots, je vends au plus offrants aux gens chers, Ă la criĂ©e, enfin Ă qui voudra bien mâen dĂ©barrasser. Câest gratuit, vous dis-je, comme quand on se rase, que lâon rase les murs, la barbe dâantan et le reste, quand on sâennuie de ce qui arrive pour rien ou pour pas grand aux chercheurs dâor de la gare du Nord, car si lâor noir vaut moins que rien, pas un radis, lâor blanc vaut plus que tout, ça va de route de la soie pardi. Racisme dans lâair de rien câest tout ce que ça veau. Câest comme les français, un tel pesant dâores et dĂ©jĂ sous les ors de cet arrĂȘt oĂč donc et or ni car dans cette conjonction de coordination ?Erratum Au sot lây laisse, bec sur le paon, lit tes ratures, du grand dam de son hauteur, dans pĂ©trole il y a paix et il y a troll, con traire ment aux appĂąts rances, et queue foutre la dite conjonction de coordination» , telle quâelle, parĂ©e dans le test dans sa version Ă jeun, on veut des masques, on veut des tests, on vous dĂ©masque, on vous dĂ©teste, que vous avĂ©, maria deux maux en sang bleu, qui, par chance se mettent, en fait, en fĂȘte, en quatre, pour partie carrĂ©e Con jonction de co-ordination». Ainsi soit-il ! La toux dans la manche, dans le coude dĂ©, se joue jusquâau dix de der, belote et re, masquĂ© Ă cache-cache et Ă sot mou ton, on le con prend, Ă maux cachĂ©s, et câest ainsi quâelle a Ă©tĂ©, aprĂšs en dĂ©s coudre et sort jetĂ© bazar de toute la dite hauteur, et quâelle erre dans lâĂ©tat de lâaversion finale de la pleine coupe aux lĂšvres. Au quai ? Tu prends enfin le con finement, ou bien tu me prends pour un comptant pour rien ou pour un content pour rien comme lâart et le cochon qui balance ton portable comptant pour pas grand chose non plus mais luit PĂąques pour moins que rien quart de poil câest en mai quâon sort, pour ne pas dire en mĂ©content. Comme dire no, comme dit Renaud, Câest quand quâon va oĂč », câest quand consort mon prince sans rire, mon saigneur? Ăcoute, vois dans quelle Ă©tagĂšre, dans quel Ă©tat tâerres, dans quel Ă©tat est ta terre, dans quel Ătat taire ? Tâes toi, tais toi !Et vous ça va ? On fait hĂąler comme lâor se dore au soleil oĂč la misĂšre est moins pĂ©nible soi-disant. Mais Ă farce de se laisser hĂąler on va finir par avoir la peau lisse qui va nous embarquer et nous confiner encore et en corps, jusquâĂ lâĂąme de fond, sous prĂ©texte que pour sâen sortir faut sâenfermer, comme si la fermer ne suffisait pas pour ne pas ĂȘtre sur va falloir mettre les bouches, et double si lâon veut fort niquer en tas tendant Ă la câest au cri de ni Dieu, ni mĂštre, des maĂźtresses » que ça va se jouer, lâair de rien, Ă un poil prĂ©s. Et si tu rates la tune por una cabeza, faudra pas tâen fer plus que ça Ă dada, puisquâon te dit que ça vaut trois fois rien, et pas quâun peu, et que tu ne renais droit dans tes bottes de sortie que pour faire tes courses, pas pour te faire niquer. Gaffe car ces bottes sont faites pour marcher » et elle risque de les mettre un jour oĂč lâautre pour te quitter », au risque de nâavoir plus rien Ă se mettre, Ă soumettre, dâen rester Ă un maĂźtre, Ă la chĂšre, Ă la trop peuchĂšre servitude oĂč ne pas mettre, lĂ est la question, maĂźtre ou pas maĂźtre, lĂ est la seconde question, de la voix de son mettre et du nĂ©ant, du nez en lâair, de lâair dâun, du nĂ©on qui lâĂ©claire, de la lumiĂšre des siĂšcles. LĂ est la question, that is the, et voilĂ que jâexpire car oui monsieur William dans votre avenue "quâalliez vous faire?", je crains le pire. Quand Ă son Kant Ă soi, il sâen prend un coup bas sâil faut rester chez soi pour qui nâest pas encore art rivĂ©. Du cotĂ© de chez soi on en a vite fait le tour des filles en flirt, faut aller voir ailleurs tout en passant par lĂ , tout en restant ici. Heureux qui communiste Ă fait un beau voyage mais le poli tique se demandant si ça vaut bien la Pen ou le mĂ©chant yâa quâĂ faut con des soumis Ă dire que tu reprendras tes droits au joli mois de mai et ce sera lâĂ©moi, en masque dĂ©sormais, mais ça pourra se faire et lâorgie sera belle. On ne te demandera que tes donnĂ©es personnelles. Qui fait quoi, quand et oĂč et avec qui ? Balance ton portable, mais soit sans tweet si tu veux tenir le haut du cours remonteront alors Ă lâorĂ©e, et si tu nâen peux mais, câest quâil sera trop tard, fallait pas ça tarder. Câest sous vent quâil faut choisir lâalarme Ă lâĆil, moins que rien, gratis, comme lâor noir, au doigt mouillĂ© sans autre forme de procĂšs. Tout ça, ça va, ça vient, ça vaut puis ça vaut rien, et puis ça casse quand ça va tant Ă lâeau quâĂ la câest pas tout ça, câest pas Toussaint, mais moins que rien ça nâattend pas, jâachĂšte car il me tarde de lĂąchetĂ©. Dâautant que ça sent le roussi dans le Landerneau et si ça ne dĂ©barrasse pas, ça gagne, Ă tous les coups, comme au poker dit Vian je ne veux pas gagner ma vie, je lâai. » mais ce nâest pas forcĂ© ment une raison pour la perdre et aller perdre son temps, ni Ă la gagner, ni Ă chercher des idĂ©es Ă Lacan, car tout fou Lacan au fond, surtout sâil sâagit de prendre Duchamp. IdĂ©es pour lesquelles je ne donne pas cher puisque le plus soĂ»l vend les autres liaisons dĂ©jĂ , pardon lĂ©sions dĂ©jĂ , blessĂ©s quâils sont, et si ça creuse le ci-devant bouleau, câest quâil suffit de les partager et pour pas un rond, dâoĂč le chaud mage. Ă quoi bon dâailleurs en chercher du boulet sâil ne rapporte pas plus que rien, ou que pas grand chose comme dit le petit, bien que mal tailleur soit riche, ni moins que le moins que rien or noir Ă ne rien fer ? Faut trier dans le tard et rentrer dans le lard mĂȘme si lâarrĂȘt difficile aprĂšs la critique telle ment faucille con en devient plus difficile Ă nĂ©gocier que nous avons dĂ©jĂ du mĂąle Ă nous occuper du con finement sans sortir avec elle et sans demander son reste. Câest comme si pour sâen sortir il fallait sâen fermer en les ouvrant tout deux mâaiment. LĂ il ne sâagit plus de penser mais, en loques cul rance, de dĂ©penser moins en achetant plus, comme cul par dessus tĂȘte, sâil faut faire un dessin comme en 69 oĂč lâon avait dĂ©jĂ la con figuration libre. Jeu de mains jeu de vilains me direz-vous car je vous vois lâavenir, mais aucun effet ne sert Ă qui perd gagne, car aucun coup de dĂ© nâa jamais aboli le bazar dans ce billard Ă trois bandes oĂč les queues vont et viennent, entre ses moins que rien et il sâen est phallus dâun rien pour que ça sorte Ă nouveau avant de rentrer tout de go. Faut dire que quand elle dĂ©gaine et enlĂšve ses bas, si câest plus bas quâen bas est ce que ça monte encore vrai ment? Câest comme les putains, tout ce qui monte converge » me direz-vous, ras sur en goguette, mais je demande avoir sur commande ferme, rubis sur ongle, car si le bas blesse et semble de plus en plus haut et si ça descend trop bas, va falloir sâaccrocher. Et lĂ , câest une autre paire de tunnel sous la Manche, ça pourrait mĂȘme tourner Ă lâamer du Nord perdu comme il se doigt mouillĂ©. Si tu passes lĂ -bas dis bonjour Ă la fille⊠a tâelle encore⊠? » Voire au plat pays. Alors si câest sans fond, comme un siphon font font » les petits maris honnĂȘtes, ça peut creuser, et câest sans faim, comme la vieille taupe, et, dans ce cas, on nâest pas au bout du tunnel. Souviens-toi que câest quand tout va bien quâil y a tout lieu de sâinquiĂ©ter et que câest quand on touche le fond que lâon ne peut que remonter. Sain et sauf Ă faire un pas en avant quand on est au bord du gouffre, ça rassure mĂȘme si ça ne manque pas dâair comme dans les courants. Souviens-toi des pavĂ©s sous la plage et mĂȘme du long le plus jour pour faire court. Souviens-toi quand ça dure comme les pavĂ©s sous la page des livres et vous et le plus vite me mets le doute avec tes idĂ©es toutes fĂȘtes surtout que jâai du pĂ©trole Ă revendre et que je ne trouve ni preneur ni promeneur par les temps qui courent. Dâautant quâil nây a que le premier pas qui coĂ»te et que je marche en mise Ă pieds ou que je roule en car jâai vendu ma Picasso quand le cours du pĂ©trole Ă©tait au plus haut, plus cher que lâeau qui est Ă prix dâor en bourse ou le vit est cher et oĂč il est bien difficile de se frayer un chemin, et dâĂȘtre moins que rien, plus que de lâavoir, surtout en nĆud de tĂȘte. A ce petit je on joue sous vent, et je sais faire, car jâai tant sous fer que câest deux venus avec masseur un jeu dâenfant, un jeu oĂč tous les tickets sont ça sent lâarnaque on le devine et sâil te faut Ă nous vaut un dessin, câest de lâargent sale quâil te refilent quand tu achĂštes sous ment tĂŽt ton baril. Ăa sent la poudre ce pot gnon qui nâa pas dâhonneur et on a beau dire que ça vaut moins que rien, ça fait de nous des vauriens pour ne pas dire des pas grand chose. Au point mâaime que les idĂ©es reviennent comme dans un film et que ça puisse ĂȘtre utile. Surtout si Fina le ment ce nâest pas Shell que jâaime, je vous fait la Total, câest pas fait pour lâEsso. Faure tant que voudra dans sa FĂ©lix citĂ© mais force est de con se tĂąter quâil voulait ĂȘtre CĂ©sar et ne fĂ»t, de pĂ©trole, que nâest pas gagnĂ©, car ça ne vaut que dalle mĂȘme si lâor dure, mais câest toujours plus que moins que rien et jây tiens plus que en cĆur donc, comme Ă vingt heures, heure de la messe et aprĂšs hĂ©ros sur nos bal cons fleuris, cons fleuris, cons fleuris, yâa toujours un macchabĂ©e, qui disait, qui disait Ah ce quâon sâen nuit debout ici et las, sans jamais se coucher comme chevaux sur la soupape de ces culs ridĂ©s. Et câest bien ce jour lĂ que le pet drĂŽle a dĂ©crochĂ© et quâil a valu moins que le gaz au Duc, que lâair de ne pas y toucher, moins que lâair de rien, et sans masque par dessous le marchĂ©. Tout va trĂšs bien madame la banquise, voilĂ oĂč lâon en nez en lâair, nait Ă lâheure quâil hait le gus qui attend les jours meilleurs, les lents de mains qui chiantent et tutti quanti, des luths de classe, des Gilles et John, et de tous ceux qui restent ronds poings et pieds liĂ©s de cordĂ©es, niais de reste lĂ car, Ă trop dâeffort nul nâest tenu, et je ne voudrais pas abuser de votre temps qui est prĂ©cieux puisque câest Ă peu prĂ©s tout ce quâil vous reste Ă dĂ©penser aprĂšs le pas sage en caisse aprĂšs avoir tout des pensĂ©es oĂč yâ a madame Ă boire et, par le bazar dâun coup de dĂ©, amant jâ attendant le vaccin, lâor noir vaut moins que rien et sonne le tocsin, la messe Ă©dite et en latin comme il se rince doigt dans le bĂ©nitier "mĂšre de dites Ă ces putainsâŠ" Yâa bal masquĂ© tragique, ça Ă corona, câest la mise en biĂšre, et ça sent le sapin du prix du pĂ©trole Ă la pompe quâon sort bien mĂ©ritĂ© de ses mauvaises pensĂ©es, nous voilĂ bobos et cons Ă la foi messie on laisse faire lâeffet de serre sans rien branler, bas de Combas, on va broyer du noir sans mĂȘme se soulager. Quand Ă lâeffet de cerf dis-je, les biches Ă tendrons se font bien du mouron, et on les comprend car ça a fluctuĂąt et il semble bien que ça va mergitur, paris notre dame que ça dĂ©visse cette foi, va falloir mettre ou se dĂ©mettre car voilĂ mai et, sous les pas vrais, la page oĂč nous nâen poumons plus. Jean-Pierre Roche 22 04 20
n est pas fou qui veut lacan