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Si Accor refuse de diffuser la vidéo, je me chargerais de le faire moi-même" a déclaré Edward Jay Epstein au correspondant new-yorkais de ParisMatch. "J’attends le feu vert de mes sources
Pourprotéger votre entreprise de ces menaces informatiques provenant d’Internet, une cyber assurance est donc tout autant conseillée. Voire plus, car, nous l’avons vu, les dommages qu’une attaque web peut provoquer sont souvent extrêmement lourds et peuvent facilement conduire une entreprise à la faillite.
DGFFV. Depuis plusieurs semaines, le rappeur Booba et l’agent de téléréalité Magali Berdah s’affrontent sur les réseaux sociaux. En effet, tout a commencé avec des moqueries et des offensives relatives à la confession de Magali, puis cela s’est ensuite poursuivi avec des publications virulentes comme le partage de rumeurs sur une sextape de ladite agente. Cette dernière a décidé de porter plainte pour dénonciation calomnieuse » et cyberharcèlement » contre Booba et obtenu la fermeture de son compte Instagram. Aujourd'hui, Magali s’est confiée une nouvelle fois sur les menaces de mort qu’elle reçoit au quotidien. On vous explique !Booba vs Magali, le récapAvec son hashtag influvoleurs, le rappeur Booba s’est lancé dans une attaque contre les influenceurs qui arnaquent leurs communautés, à noter qu'ils sont représentées par Magali Berdah. Cette dernière demeure la cible principale de Booba, il l’accuse d’être derrière toute cette supercherie. Cela fait plusieurs semaines qu’il la pointe du doigt et la vise dans chacun de ses tweets. Un acharnement qu'elle n'a pas pu supporter. De son côté, sur ses réseaux sociaux, Magali Berdah accuse l’artiste de harcèlement et continue de crier à l'aide sur la toile en écrivant "Quelqu’un qui vous humilie, qui vous enlève votre dignité tous les jours jusqu’à se moquer de vous et de votre famille parce que vous avez une malformation dans le genou... Il a écrit publiquement qu’il va me terminer. Vous attendez quoi là ? Que je fasse quoi ? Que je me fasse tu*r par des gens qui me menacent depuis plus de 2 mois de mort ? Vraiment jusqu’à quand ?". À cause de cette affaire, Magali vit un acharnement qu’elle n’arrive plus à contrôler. D'ailleurs, elle a partagé récemment une vidéo sur les réseaux sociaux où elle dévoile la quantité de messages haineux qu'elle reçoit chaque jour. En effet, elle a écrit en légende "En deux mois 1/2, 69 687 menaces et insultes reçues, 795 par jour, soit 33 par heure, c'est-à -dire un message toutes les deux minutes !!!".Magali se confie à Paris Match Magali Berdah a été l'invitée du magazine Paris Match et elle s'est confiée une nouvelle fois sur le cyberharcèlement qu'elle subit au quotidien. En effet, elle a raconté " Ma vie est chronométrée par Booba... ils m'ont menacé de me déc*piter, de me vi*ler, mes filles et moi. On a menacé de me vider de mon sang, de me lap*der, de m’éc*rteler… Je pense que tout y est passé... J'ai l’impression qu’il n’y a pas un frein".Après la diffusion de l'interview de Magali sur ledit magazine, Booba n'a pas attendu et a décidé de lui répondre et l'a qualifié de "mauvaise comédienne". D’ailleurs, le rappeur a ajouté également dans un autre tweet un audio compromettant d'elle en train de s’en prendre violemment à une blogueuse Poucav Nana. Des audios que Booba a visiblement retrouvés sur la toile puisque cette affaire remonte à 2019. © TOUS DROITS RÉSERVÉS
Isabelle Prime, la Française enlevée le 4 février 2015 au Yémen. — Capture d'écran France 2 S'il vous plaît, ramenez-moi en France, vite.» C'est en ces termes qu'Isabelle Prime, la Française de 30 ans enlevée le 24 février dernier à Sanaa Yémen, en appelle aux autorités françaises, selon une vidéo dont Ouest-France a pu visionner un court vidéo de 21 secondes, filmée dans un désert, montre Isabelle Prime le visage fatigué, vêtue de noir, à genoux». Elle s'adresse, en anglais et probablement sous la menace, aux présidents français, François Hollande, et yéménite, Abd Rabbo Mansour Hadi, pour leur demander d'agir en vue de sa libération Please bring me to France, fast» S'il vous plaît, ramenez-moi en France, vite».La vidéo authentifiée par le quai d'OrsayLes images tournées par les ravisseurs de la jeune femme, un groupe tribal yéménite, ont été authentifiées par le ministère des Affaires étrangères qui poursuit la médiation avec les ravisseurs, selon le quotidien. Isabelle Prime, arrivée à Sanaa en mars 2013, travaillait pour Ayala Consulting, une société de conseil américaine sous-traitante d'un programme en partie financé par la Banque mondiale. Elle a été enlevée avec son interprète yéménite Chérine Makkaoui dans la capitale yéménite par des hommes déguisés en policiers alors qu'elles se rendaient en voiture au travail, selon leur employeur.
Affaire DSK Le journaliste Edward Jay Epstein a relancé le feuilleton DSK en pointant les zones d'ombre dans l'affaire du Sofitel. Le journaliste américain Edward Jay Epstein qui a relancé les interrogations sur l'affaire du Sofitel de New york, a déclaré lundi 28 novembre qu'il ne disposait pas de l'enregistrement des caméras de surveillance de l'hôtel montrant deux hommes se congratulant le 14 mai après que la police eut été informée des accusations de la femme de chambre contre Dominique Strauss-Kahn le 14 mai. "Si je peux obtenir le CD, je le diffuserai" a-t-il expliqué, "mais je ne l'ai pas". Il avait laissé entendre plus tôt qu'il possédait la vidéo. Le journaliste affirme dans son enquête intitulée "Qu'est-il réellement arrivé à Dominique Strauss-Kahn ?", publiée ce week-end dans la New York Review of Books, que le procureur de New York a en main les enregistrements qui atteste selon lui de l'existence d'un complot contre DSK. "Si Accor refuse de la rendre publique dans sa totalité, je m'en chargerai moi-même, avait-il confié à Paris Match. J'attends le feu vert de mes sources, mais j'ai bon espoir de l'obtenir mardi 29 novembre. Auquel cas, je proposerai la diffusion de la vidéo à des émissions américaines de grande écoute, comme le Charlie Rose show", sur la chaîne publique de télévision PBS. "DÉMENTI" Mais Sofitel a réagi dimanche en démentant formellement dans un communiqué les allégations de M. Epstein, affirmant que la scène dure huit secondes, qu'il n'y a "aucune 'extraordinaire danse de fête'" et que "les deux employés interrogés ont catégoriquement nié que cet échange ait" un rapport avec l'affaire DSK. Le journaliste affirme de son côté dans Paris Match avoir contacté l'un des protagonistes de cette scène pour en apprendre plus et s'être heurté à un "no comment" de sa part. Edward Jay Epstein a assuré dimanche "Des gens étaient en train de surveiller ce que faisait DSK pendant son voyage [à New York]. Je n'ai pas dit que c'était un complot politique, mais je dirais que des gens ont voulu trouver des preuves d'un mauvais comportement de sa part, de façon à faire capoter sa candidature [à la présidentielle], voire son poste au FMI." Epstein reconnaît ne pas savoir ce que les deux hommes se sont dit, la vidéo étant muette. "Mais les enquêteurs du procureur Cyrus Vance l'ont vue et j'ai toutes les raisons de penser qu'elle a influencé leur décision de ne pas poursuivre Strauss-Kahn, affirme le journaliste. […] Il est capital que cette vidéo soit diffusée pour que chacun puisse se faire un avis." Le Monde avec AFP Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
C'est pour une histoire de chantage qu'un jeune homme de 19 ans était convoqué, mardi 25 septembre, devant le tribunal correctionnel de Cherbourg. Il ne s'est pas présenté. Un chantage pour 10 euros qui charge le casier judiciaire… ©Photo d’illustration PixabayUn jeune homme de 19 ans était convoqué, mardi 25 septembre, devant le tribunal correctionnel de Cherbourg pour une tentative de chantage sur un autre garçon voulait de l’argent. En fait, il réclamait 10 euros pour acheter des clopes, somme que son ami refusait de lui donner. Or, les deux garçons ayant été intimes, celui qui comparaissait devant les juges avait menacé l’autre de diffuser la vidéo de leur relation sexuelle, l’inquiétant en outre en prétendant qu’il était mineur au moment de leur intimité. Ce qui était mois de prison avec sursisLa substitut du procureur de la République a regretté Quel dommage qu’il ne soit pas présent à l’audience !Pour lui remettre les idées en place, elle aurait aimé proposer pour le jeune homme un travail d’intérêt général, mais c’est une peine qui nécessite le consentement du magistrat s’est donc limité à une peine moins pédagogique de 3 mois de prison avec sursis, ce qui a été entériné par le article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre La Presse de la Manche dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites.
Votre situation Votre enfant a donné une photo intime à son copain ou sa copine, et il/elle menace de la montrer à tout le monde ? Un enfant de votre entourage a été piégé par webcam et est devenu la cible d’un chantage sexuel ou financier ? Vous cherchez une solution pour éviter de voir publiées ces images intimes ou pour les faire supprimer ? Sexting », revenge porn », sextorsion »… un point sur les mots On appelle le sexting » le fait de s’envoyer des photos ou textes sexuellement explicites des sextos », qui dérive de textos », surtout par téléphone portable. Ceci n’est pas uniquement une pratique d’adolescents, c’est aussi une pratique d’adultes ! Selon les chiffres d’une étude réalisée en 2015, 31,5% des adolescents français de 13-17 ans disent connaître la pratique du sexting1. 20% des adolescents ont déjà réalisé des photos ou des vidéos à caractère érotique ou pornographique. On appelle le revenge porn » en français, vengeance pornographique » le fait de se venger d’un ancien ou d’une ancienne petite amie qui nous a trompée ou quittée en diffusant ses photos ou vidéos intimes. On appelle la sextorsion » qui provient des mots sexe » et extorsion » le fait de diffuser des images sexuelles de quelqu’un ou de dire certaines choses qui pourraient porter atteinte à son honneur si cette personne ne donne pas d’argent, si elle ne répond pas à des demandes sexuelles, si elle arrête une relation… Si les images intimes ont déjà été diffusées, on parle de sextorsion. Si elles n’ont pas été diffusées, on parle de chantage, qui est tout autant interdit par la loi. Le plus souvent, la sextorsion a lieu par webcam avec une personne inconnue, rencontrée sur un tchat ou un site de rencontre. Cette dernière demande à ce que la victime se déshabille et en profite pour enregistrer la scène. Elle la fait ensuite chanter en la menaçant de diffuser ces images auprès de ses proches si elle ne donne pas d’argent. 1 DELMOTTE, Sophie 2016 Le sexting chez les adolescents modalités, conséquences, rapports avec la pornographie et leur sexualité. Th. doct. Médecine Université Lille 2 Droit et Santé, 91p. Avant toute chose rassurez la victime ! Il est fort probable qu’il/elle soit en train de culpabiliser pourquoi j’ai envoyé ces photos ? », j’ai vraiment été trop bête, trop naïve… ». Quand une personne est victime de chantage, elle est sous la pression permanente qu’un contenu intime sur elle-même puisse être diffusé sur Internet ou par SMS, à ses camarades, à sa famille… portant atteinte ainsi à son honneur on va penser que je suis une salope », tout le monde va voir une photo de mon sexe, on va se moquer de moi »…. La situation est très difficile à contrôler et l’angoisse est donc omniprésente. Si votre enfant a fait la démarche de venir se confier à vous, c’est qu’il/elle s’est senti suffisamment désemparée pour avoir le besoin d’en parler. Ne culpabilisez pas votre enfant. Rappelez-vous toujours qu’il s’agit d’une victime. Et que le coupable est celui ou celle qui menace la diffusion ou a diffusé ces contenus intimes. Il est possible que vous découvriez à ce moment l’existence de la vie intime de l’enfant, que vous n’imaginiez pas jusqu’alors, et vous pouvez en être surprise. S’il est normal pour un parent de ressentir de l’inquiétude quant à la sexualité de ses enfants Est-ce qu’ils se protègent ? », par exemple, il est important que vous gardiez à l’esprit qu’il est tout à fait normal pour les adolescents de vouloir explorer l’inconnu de la sexualité et que cela fait partie de leur intimité. Ne portez pas de jugement et évitez les remarques du type Pourquoi tu as fait ça ? », Si j’avais été à ta place… », C’est évident que… ». Tout le monde peut se faire avoir », même les adultes, encore plus lorsque l’on est dans une relation de couple où l’on fait confiance à l’autre. Chaque année, un nombre considérable de personnes sont victimes de revenge porn ou de sextorsion. Sans dramatiser, ne prenez pas la situation à la légère. Ce genre de situations a déjà emmené des enfants vers la dépression, voire le suicide pour les cas les plus graves. Pour près d’1 jeune sur 3 qui a déjà pratiqué l’envoi de photos érotiques ou pornographiques, celui-ci s’est accompagné de conséquences angoisse ou mal-être, harcèlement, sanction par les parents, dépression, hospitalisation ou tentative de suicide, exclusion scolaire. Montrez à votre enfant qu’il/elle peut compter sur vous et que vous allez tout faire pour l’aider à se sortir de cette situation. Ce que vous pouvez faire Contactez le 3018 Vous pouvez vous adresser au 3018, le dispositif national contre les violences numériques. Accessible soit par téléphone, soit par tchat en direct sur via Messenger ou WhatsApp, ce service gratuit, anonyme et confidentiel est disponible du lundi au samedi, de 9h à 20h. A votre demande, un signalement est immédiatement effectué auprès des réseaux sociaux Facebook, Twitter, Snapchat, Instagram, TikTok, Twitch, Youtube, Roblox, Discord, Yubo pour obtenir la suppression du contenu qui porte préjudice à votre enfant. Si vous souhaitez porter plainte ou prendre rendez-vous auprès d’un psychologue, l’équipe professionnels pourra également vous renseigner et vous épauler dans vos démarches auprès des autorités compétentes, et vous orienter vers les services spécialisés La photo ou la vidéo n’a pas été publiée ou diffusée Voici ce que vous pouvez faire dès à présent Votre enfant doit demander à ce que soient supprimés les contenus intimes, et à ce qu’ils soient aussi supprimés sur les supports des personnes à qui ils auraient éventuellement été transmis. Votre enfant doit avertir la personne des sanctions qu’elle encoure si elle diffuse les contenus intimes vous trouverez toutes ces informations plus bas dans la partie ce que dit la loi » et dire qu’il/elle va porter plainte. S’il s’agit d’une personne qu’il/elle ne connaît pas l’enfant ne doit donner aucune information qui pourrait l’aider à faire son chantage. Il/elle doit vérifier que ses comptes sur les réseaux sociaux sont bien paramétrés pour que cette personne ne puisse pas avoir accès à sa liste d’amis ou à ses informations personnelles la ville habitée, son numéro de téléphone, son collège ou son lycée…. Si votre enfant est amie avec cette personne sur Facebook, il/elle doit la bloquer. Si la personne menace de publier sur Facebook, l’enfant peut signaler le chantage ici. Votre enfant doit prendre des captures d’écran de la situation les messages reçus, les contenus à effacer… et signaler directement la situation ici. L’anonymat peut être conservé, et la situation sera traitée de manière confidentielle. Votre enfant ne doit pas donner d’argent ou répondre aux demandes sexuelles. Votre enfant ne doit plus parler à la personne qui le/la menace. Si besoin, votre enfant peut avertir ses amis de confiance de manière à ce qu’ils puissent le/la tenir au courant si jamais la personne met ses menaces à exécution sur les réseaux sociaux. Vérifiez régulièrement sur Google que rien n’a été diffusé en tapant le nom et le prénom de votre enfant. Vous pouvez également recevoir automatiquement une alerte Google à chaque fois qu’une page Internet mentionne ses nom et prénom. Vous trouverez la marche à suivre ici. Si aucune de ces manœuvres ne réussit à faire arrêter le chantage ou supprimer ces contenus, rendez-vous à la gendarmerie ou au poste de police et portez plainte. Les gendarmes ou les policiers ont l’obligation de prendre votre plainte. En cas de refus, vous pouvez porter plainte directement auprès du Procureur de la République. La photo ou la vidéo a été publiée ou diffusée Voici ce que vous pouvez faire dès à présent Si la photo ou la vidéo intime apparaît dans les résultats quand on tape le nom de votre enfant sur Google, on peut demander à ce que ces résultats soient déréférencés, c’est-à -dire qu’ils n’apparaîtront plus dans les résultats de recherche associée à son nom. C’est ce que l’on appelle le droit à l’oubli ». Pour ce faire, rendez-vous ici. Δ Attention, cela ne supprime pas la photo ou la vidéo, c’est pour ça qu’il est important de faire supprimer les images en priorité. Vous pouvez vous adresser au 3018, le dispositif national contre les violences numériques. Accessible soit par téléphone, soit par tchat en direct sur via Messenger ou WhatsApp, ce service gratuit, anonyme et confidentiel est disponible du lundi au samedi, de 9h à 20h. A votre demande, un signalement est immédiatement effectué auprès des réseaux sociaux Facebook, Twitter, Snapchat, Instagram, TikTok, Twitch, Youtube, Roblox, Discord, Yubo pour obtenir la suppression du contenu qui porte préjudice à votre enfant. Vous ou votre enfant devez signaler immédiatement la situation ici. Vous pouvez garder l’anonymat, et la situation sera traitée de manière confidentielle. Si le contenu se trouve sur Facebook, l’enfant peut utiliser le lien signaler » présent à côté de tous les contenus. Vous trouverez la marche à suivre ici. Si le contenu se trouve sur Twitter, votre enfant enfant peut signaler les tweets et contenus choquants directement à partir des tweets ou via le centre d’assistance. Vous trouverez la marche à suivre ici. Si besoin, votre enfant peut avertir ses amis de confiance de manière à ce qu’ils puissent le/la tenir au courant si jamais la personne met ses menaces à exécution sur les réseaux sociaux. Vérifiez régulièrement sur Google que rien n’a été diffusé en tapant le nom et le prénom de votre enfant. Vous pouvez également recevoir automatiquement une alerte Google à chaque fois qu’une page Internet mentionne ses nom et prénom. Vous trouverez la marche à suivre ici. Si aucune de ces manœuvres ne réussit à faire arrêter le chantage ou supprimer ces contenus, rendez-vous à la gendarmerie ou au poste de police et portez plainte. Les gendarmes ou les policiers ont l’obligation de prendre votre plainte. En cas de refus, vous pouvez porter plainte directement auprès du Procureur de la République. Et après… ? Une fois la situation rentrée dans l’ordre, vous pouvez proposer une discussion autour de ce qu’il s’est passé l’enfant s’est-il senti obligé ou a-t-il été forcé d’envoyer ces images ?, de la sexualité, des différents risques », tout en respectant l’intimité de votre enfant. S’il/elle ne souhaite pas en parler, ou si vous ressentez vous-même de la gêne, indiquez-lui que vous restez à sa disposition, et qu’il/elle peut également en parler à quelqu’un de confiance sa tante, son grand frère, les professionnels du planning familial ou de la maison des adolescents…. Acceptez le fait qu’il ne veuille pas vous en parler à vous directement, même si c’est difficile. Notez qu’il est en général plus facile pour un enfant de discuter de ces sujets avec le parent du même sexe. En ce qui concerne la pratique du sexting, tant qu’elle est volontaire et non subie par votre enfant, elle reste une partie de sa sexualité et donc de son intimité. S’il est fort possible qu’après un événement stressant lié à cette pratique, il/elle ne souhaite plus s’y adonner pendant quelques temps, cela peut aussi ne pas être le cas. Considérant que l’on ne peut empêcher les adolescents de s’envoyer des sextos », le Dr. Sophie Delmotte, auteure de l’étude sur le sexting, recommande de les inciter à rendre anonyme les clichés pris, à prendre des précautions sur le lieu, les parties montrées dans leur mise en scène » afin de [limiter] les retombées et conséquences de cette pratique ». Pendant quelques temps, vérifiez régulièrement sur Google que rien n’a été de nouveau diffusé en tapant les nom et prénom de votre enfant. Vous pouvez également recevoir automatiquement une alerte Google à chaque fois qu’une page Internet mentionne ses nom et prénom. Vous trouverez la marche à suivre ici. Agir en prévention Vous êtes parent ou travaillez au contact d'enfants ? Vous êtes parent une discussion avec votre enfant sur les risques que peut comporter certaines pratiques, notamment le sexting, peut être très utile. Des articles de presse sur le sujet sont idéals pour amorcer la conversation. Vous travaillez au contact des enfants n’hésitez pas à aborder le sujet, en vous appuyant par exemple sur les différents documents réalisés par Point de contact sur le sexting et la sextorsion. Des vidéos peuvent également être utilisées comme support, notamment celle réalisée par la Sûreté du Québec. Ce que dit la loi sur… Le droit à l’image pas de photo, texte ou vidéo publiée sans consentement ! Le droit prévoit que l'image et les informations personnelles d'une personne doivent être protégées car il s'agit du droit fondamental à la vie privée des personnes article 9 alinéa 1 du code civil. Le consentement doit être donné par les deux parents lorsque la personne représentée sur l’image est mineure. D’après la loi la transmission ou la diffusion de l’image d’une personne, se trouvant dans un lieu privé et sans son consentement peut être sanctionné d’1 an d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende article 226-1 Code pénal. S’il s’agit d’une image ou une vidéo prise dans un lieu public dans la rue rue, la plage…, c’est aussi interdit, et l’on pourra se reporter à l’article 9 du Code civil. Lorsque les photos ou vidéos intimes représentent une personne mineure, la peine est encore plus lourde le fait, en vue de sa diffusion, de fixer, d’enregistrer ou de transmettre l’image ou la représentation d’un mineur lorsque cette image ou cette représentation présente un caractère pornographique est puni de 5 ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende article 227-23 du Code pénal. Lorsque l’image ou la représentation concerne une personne mineure de 15, ces faits sont punis même s’ils n’ont pas été commis en vue de la diffusion de cette image ou représentation. Cas de condamnations pour revenge porn septembre 2015. Le droit à l’effacement Toute personne peut demander à faire effacer ses données des résultats d'un moteur de recherche. La loi européenne donne la possibilité d’obtenir l’effacement des données personnelles en ligne photos, vidéos, textes… article 17 du règlement UE 2016/679. Le chantage et de la sextorsion Si quelqu’un menace de diffuser une photo ou une vidéo ou de révéler à tout le monde des choses qui pourraient porter atteinte à l’honneur si l’on ne donne pas d’argent, d’autres photos intimes, ou si l’on ne continue pas une relation… il s’agit de chantage. Au regard de la loi, c’est puni de 5 ans d’emprisonnement et de 75 000€ d’amende article 312-10 du Code pénal. Si la personne a mis ses menaces à exécution et qu’elle a diffusé ces photos ou vidéos, ou qu’elle a révélé des choses portant atteinte à l’honneur, on parle alors de sextorsion », qui est punie comme l’extorsion la peine est de 7 ans d’emprisonnement et 100 000€ d’amende article 312-1 du code pénal. Le harcèlement La loi punit aussi le fait qu’une personne harcèle celle-ci risque 1 an d’emprisonnement et 15 000€ d’amende. La peine est plus lourde encore si l’enfant a moins de 15 ans OU si le harcèlement s’est fait sur Internet 2 ans d’emprisonnement et 30 000€ d’amende, et peut même atteindre 3 ans d’emprisonnement et 45 000€ d’amende si l’enfant a moins de 15 ans ET que le harcèlement s’est fait sur Internet article 222-33-2-2 du Code pénal. Les menaces de crime meurtre, viol… ou de délit agression, violences…, de manière répétée, sont aussi punies par la loi. Cette réponse a été rédigée par l’équipe de la Fondation pour l’Enfance. L’association e-Enfance y a aimablement contribué en faisant part de son expertise sur le sujet.
menace de diffuser une vidéo de moi